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Jouer pour mieux vieillir : comment les jeux cérébraux entraînent votre cerveau

Et si entretenir sa mémoire pouvait devenir un jeu ? Les jeux cognitifs s’imposent aujourd’hui comme un outil ludique et efficace pour préserver les fonctions mentales et retarder le déclin cognitif. Loin d’être réservés aux enfants, ils s’adressent à tous ceux qui veulent garder un esprit vif, quel que soit l’âge. 


un enfant et un homme agé jouent ensemble aux échecs


 

Le cerveau, un muscle à entretenir 

Le cerveau fonctionne un peu comme un muscle : plus on le stimule, plus il reste performant.  Selon l’Inserm, pratiquer des activités cognitives régulières (lecture, puzzles, jeux de mémoire, etc.) permet de préserver les capacités de raisonnement et d’attention avec l’âge. 

Les chercheurs du CNRS rappellent également que ces exercices activent la neuroplasticité, la capacité du cerveau à créer de nouvelles connexions neuronales. En d’autres termes : plus on joue, plus notre cerveau reste flexible et réactif. 

 

Pourquoi les jeux cérébraux sont-ils si efficaces ? 

  • Ils entretiennent la mémoire : certains jeux renforcent la mémoire à court et à long terme en stimulant les circuits neuronaux associés. 

  • Ils améliorent la concentration : des défis courts et ciblés entraînent l’attention sélective, essentielle pour les tâches quotidiennes. 

  • Ils favorisent la créativité : en sortant le cerveau de sa routine, ils encouragent de nouvelles associations d’idées. 

  • Ils réduisent le stress : jouer quelques minutes par jour procure un effet relaxant et améliore la confiance en soi. 

 

Comment intégrer la stimulation cognitive au quotidien ? 

  1. Jouer régulièrement : 5 à 10 minutes par jour suffisent à obtenir des effets mesurables sur la mémoire et la concentration. 

  2. Varier les exercices : alternez entre jeux de logique, de mots, de rapidité et de réflexion. 

  3. Utiliser des outils adaptés : des plateformes comme Vipali intègrent désormais des jeux neurocognitifs conçus pour entraîner le cerveau de façon personnalisée et ludique. 

  4. Associer plaisir et prévention : la clé de l’efficacité réside dans la régularité et le plaisir de jouer. 

 

Faire travailler son cerveau, ce n’est pas une contrainte — c’est une habitude de bien-être.  Et si le secret pour mieux vieillir était simplement de continuer à jouer ? 

 

Sources 

  • Inserm – Stimulation cognitive et vieillissement cérébral sain : inserm.fr 

  • CNRS / Université de Caen – Plasticité cérébrale et entraînement cognitif : cnrs.fr 

  • Santé publique France – Prévention du déclin cognitif : santepubliquefrance.fr 

 

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